C'était peut être trop tôt, il a fallu du temps pour réaliser.
C'était beau, mais les belles fleurs fanent lorsqu'on ne les entretiens pas.
C'était magnifique, pleins de rebondissements rocambolesques.
C'était étincelant, comme les étoiles dans le ciel.
C'était peut être trop tôt, mais l'espoir a été nourrit, ravivé...
C'était douloureux, toutefois c'était une piqûre de rappel.
C'était bien, oui sa peut l'être, oui cela le sera encore.
C'était fou, je m'en suis enivrée et tout m'est revenu.
C'était formidable et cela m'a rappelé pour quoi, mieux pour qui, il faut l'entretenir.
C'était merveilleux et avec toi se sera toujours le cas quelque soit la saison.
C'était peut être trop ... Mais le voyage fut magnifique ... On ne vera peut être pas la destination ... Mais le chemin se transforme en autoroute: le voyage sera inoubliable !!
Le doute
jeudi 28 juillet 2016
jeudi 21 juillet 2016
Un jour ma vue a changé ...
C'était une belle journée et ce changement avait déjà démarré quelques temps auparavant ... J'apprehendais ce jour là comme un élève attendant ses résultats du baccalauréat: notre premiere rencontre s'est pourtant très bien déroulée.
Elle était beaucoup moins mouvementée que l'on aurait pu le croire, mais elle était pleine de surprises dépassant l'imagination. Ce jour là j'ai dit MERCI à toutes les personnes qui m'ont écoutées/encadrées, qui ont croisé mon/notre chemin tout simplement.
Tu n'es pas arrivé comme je l'imaginais, tu ne ressemblais pas aux projections de mon imagination mais tu as posé sur moi tes yeux et j'ai su que je ne verrais plus les choses de la même façon. Et oui, désormais l'ordre des choses a été bouleversé, je pense à toi en permanence, je veux partager chaque seconde avec toi.
Hélas se n'est pas toujours possible. Il m'est difficile d'être omniprésente, je dois te laisser de l'espace. Je dois faire de la place pour les autres aussi. Se n'est pas toujours évident à accepter mais je n'ai pas le choix: je dois te partager. J'apprends ainsi à vivre ces valeurs que sont l'humilité et la charité. Un apprentissage bien difficile, mais ma vue à changer, je dois m'adapter.
Je plane comme dirait un drogué et ceci à cause ou grâce à toi. Mes yeux se remplissent d'étoiles qui brillent de mille feux à chaque fois qu'ils croisent les tiens. Je perds mes mots, je change mes résolutions ... Ma vue a changé !!
Je doute toujours, mais je sais qu'avec toi à mes côtés, main dans la main, nous y arriverons...
Le doute
Elle était beaucoup moins mouvementée que l'on aurait pu le croire, mais elle était pleine de surprises dépassant l'imagination. Ce jour là j'ai dit MERCI à toutes les personnes qui m'ont écoutées/encadrées, qui ont croisé mon/notre chemin tout simplement.
Tu n'es pas arrivé comme je l'imaginais, tu ne ressemblais pas aux projections de mon imagination mais tu as posé sur moi tes yeux et j'ai su que je ne verrais plus les choses de la même façon. Et oui, désormais l'ordre des choses a été bouleversé, je pense à toi en permanence, je veux partager chaque seconde avec toi.
Hélas se n'est pas toujours possible. Il m'est difficile d'être omniprésente, je dois te laisser de l'espace. Je dois faire de la place pour les autres aussi. Se n'est pas toujours évident à accepter mais je n'ai pas le choix: je dois te partager. J'apprends ainsi à vivre ces valeurs que sont l'humilité et la charité. Un apprentissage bien difficile, mais ma vue à changer, je dois m'adapter.
Je plane comme dirait un drogué et ceci à cause ou grâce à toi. Mes yeux se remplissent d'étoiles qui brillent de mille feux à chaque fois qu'ils croisent les tiens. Je perds mes mots, je change mes résolutions ... Ma vue a changé !!
Je doute toujours, mais je sais qu'avec toi à mes côtés, main dans la main, nous y arriverons...
Le doute
mercredi 23 mars 2016
Amour ...
J'écris ces mots en te regardant, toi qui est une partie de moi ... Tu es la meilleure partie assurément. En effet il a fallu que je fasse don d'une partie de moi pour pouvoir te rencontrer et il faut encore que je donne du mien pour continuer de te faire sourire.
Je te regarde et j'oublie Tout ... Oui Tout, ma fatigue, ma colère, mes craintes ... Je te regardes et tu souris ... Oui tu souris, de se sourire parfois malicieux mais bien souvent innocent, juste pour me dire ton bonheur.
Je suis la plus heureuse sur terre, j'ai la grâce d'être l'unique personne qui te comprenne avant même que tu ne t'exprime. Mais s'est également beaucoup de responsabilité que de devoir te tenir la main au quotidien. Je dois être à la hauteur, je le serais ... Oui, parce qu' avec toi je me sens invincible, parce que notre grand papa la haut a permis que l'on se rencontre.
Je te regarde et je souris ... Je te regarde et je ris aux éclats ... Je te regarde et je me demande pourquoi ne nous sommes nous pas rencontrés plus tôt 😏
Je te dédie ses quelques mots KK ...
Le doute 😍
Je te regarde et j'oublie Tout ... Oui Tout, ma fatigue, ma colère, mes craintes ... Je te regardes et tu souris ... Oui tu souris, de se sourire parfois malicieux mais bien souvent innocent, juste pour me dire ton bonheur.
Je suis la plus heureuse sur terre, j'ai la grâce d'être l'unique personne qui te comprenne avant même que tu ne t'exprime. Mais s'est également beaucoup de responsabilité que de devoir te tenir la main au quotidien. Je dois être à la hauteur, je le serais ... Oui, parce qu' avec toi je me sens invincible, parce que notre grand papa la haut a permis que l'on se rencontre.
Je te regarde et je souris ... Je te regarde et je ris aux éclats ... Je te regarde et je me demande pourquoi ne nous sommes nous pas rencontrés plus tôt 😏
Je te dédie ses quelques mots KK ...
Le doute 😍
dimanche 20 mars 2016
Faut-il se passer de l’État ou lui rappeler son rôle ?
La perception de l’État qui est ici en question est
son rôle administratif. C’est une contestation de la fameuse phrase « l’État,
c’est moi ». Celle-ci concentre les décisions politiques dans la sphère
des gens qui dirigent et qui négligent les conditions concrètes de vie des gens
d’en bas. C’est le propre de l’absolutisme et des pouvoirs dictatoriaux.
Face à cette concentration du pouvoir où les gens d’en
haut fabriquent la misère (manque des soins primaires de santé, manque d’école
de qualité, manque de routes, etc) que faire ?
La première
attitude observée est celle-ci : à un moment donné, il ne faudrait même
pas attendre grand-chose de l’État quand il démissionne de son rôle d’organiser
la cité. Il devrait se limiter à son rôle de protection des citoyens et de
garantie des libertés. L’État, en ces personnes médiocres qui s’accaparent le
pouvoir est également négligé, insulté, parce qu’en fait, il est un instrument
de nuisance.
Pour le reste, à savoir, la prise en main des membres
de la communauté, elle devrait être de leur propre chef en développant leurs propres initiatives.
Ainsi fonctionnent les gens dans les États où le citoyen n’est pas considéré et
où le minimum ne leur est pas donné en termes d’infrastructures.
Moins de présence de "l’État administratif" permet aux
membres d’une communauté d’exister de par leur propre initiative. L’État de
droit devrait travailler à sa propre réforme tant que continuent ces situations
d’inégalités et de privations. Telles sont les difficultés qu’affrontent la
communauté des citoyens qui sont déconsidérés.
Les citoyens ont le droit d’exiger de l’État qu’il
rende des comptes. Qu’il leur explique comment est utilisé l’argent des taxes ;
l’argent des impôts, les ressources qui génèrent l’argent qui appartiennent à
tous. Quand on paie les impôts, on doit savoir à quoi, ça sert et comment ils
sont employés.
François-Xavier Akono.
Inscription à :
Articles (Atom)