mercredi 23 mars 2016

Amour ...

J'écris ces mots en te regardant, toi qui est une partie de moi ... Tu es la meilleure partie assurément. En effet il a fallu que je fasse don d'une partie de moi pour pouvoir te rencontrer et il faut encore que je donne du mien pour continuer de te faire sourire.

Je te regarde et j'oublie Tout ... Oui Tout, ma fatigue, ma colère, mes craintes ... Je te regardes et tu souris ... Oui tu souris, de se sourire parfois malicieux mais bien souvent innocent, juste pour me dire ton bonheur.

Je suis la plus heureuse sur terre, j'ai la grâce d'être l'unique personne qui te comprenne avant même que tu ne t'exprime. Mais s'est également beaucoup de responsabilité que de devoir te tenir la main au quotidien. Je dois être à la hauteur, je le serais ... Oui, parce qu' avec toi je me sens invincible, parce que notre grand papa la haut a permis que l'on se rencontre.

Je te regarde et je souris ... Je te regarde et je ris aux éclats ... Je te regarde et je me demande pourquoi ne nous sommes nous pas rencontrés plus tôt 😏

Je te dédie ses quelques mots KK ...


Le doute 😍

dimanche 20 mars 2016

Faut-il se passer de l’État ou lui rappeler son rôle ?
La perception de l’État qui est ici en question est son rôle administratif. C’est une contestation de la fameuse phrase « l’État, c’est moi ». Celle-ci concentre les décisions politiques dans la sphère des gens qui dirigent et qui négligent les conditions concrètes de vie des gens d’en bas. C’est le propre de l’absolutisme et des pouvoirs dictatoriaux.
Face à cette concentration du pouvoir où les gens d’en haut fabriquent la misère (manque des soins primaires de santé, manque d’école de qualité, manque de routes, etc) que faire ?
 La première attitude observée est celle-ci : à un moment donné, il ne faudrait même pas attendre grand-chose de l’État quand il démissionne de son rôle d’organiser la cité. Il devrait se limiter à son rôle de protection des citoyens et de garantie des libertés. L’État, en ces personnes médiocres qui s’accaparent le pouvoir est également négligé, insulté, parce qu’en fait, il est un instrument de nuisance.
Pour le reste, à savoir, la prise en main des membres de la communauté, elle devrait être de leur propre chef  en développant leurs propres initiatives. Ainsi fonctionnent les gens dans les États où le citoyen n’est pas considéré et où le minimum ne leur est pas donné en termes d’infrastructures. 
Moins de présence de "l’État administratif" permet aux membres d’une communauté d’exister de par leur propre initiative. L’État de droit devrait travailler à sa propre réforme tant que continuent ces situations d’inégalités et de privations. Telles sont les difficultés qu’affrontent la communauté des citoyens qui sont déconsidérés. 
Les citoyens ont le droit d’exiger de l’État qu’il rende des comptes. Qu’il leur explique comment est utilisé l’argent des taxes ; l’argent des impôts, les ressources qui génèrent l’argent qui appartiennent à tous. Quand on paie les impôts, on doit savoir à quoi, ça sert et comment ils sont employés.

François-Xavier Akono.